Les risques du gluten et du laitage

Dans cette vidéo, Marion Kaplan, bio-nutritionniste élève de la Doctoresse Kousmine, parle de l’importance de manger vivant, biologique et local et elle explique pourquoi les intolérances alimentaires, notamment celle au gluten et aux laitages, sont de plus en plus répandues. Aussi des informations importantes sur la cuisson des aliments et les risques liés à l’utilisation du micro-ondes… Une vidéo à ne pas manquer!

Le risque du gluten et du laitage

Marian Kaplan

Un cancer du sein riche en enseignements

Jean-Jacques Crèvecoeur est un scientifique pluridisciplinaire qui, entre autres, tient une rubrique très intéressante sur la revue Néosanté. Il invite ses lecteurs et lectrices à diffuser gratuitement certaines de ses publications.

Cet article décrit l’histoire extraordinaire d’une femme atteinte d’un cancer du sein et de sa guérison spontanée. Si elle avait suivi les mesures proposées par la médecine allopathique on lui aurait probablement enlevé son sein.

“Les médias dominants nous font peur de manière permanente en insistant sur le fait qu’une femme sur trois sera touchée par un cancer du sein avant l’âge de soixante ans. Malgré les centaines de milliards investis depuis cinquante ans, la recherche en cancérologie fait du sur-place. Pourtant, des guérisons spontanées de cancer existent, en nombre beaucoup plus important que vous ne l’imaginez. Lisez cet article, et partagez-le! Le cancer du sein n’est ni une fatalité, ni une condamnation à mort.” Jean-Jacques Crèvecoeur

Photo de SailorJohn. Licence Creative Commons

Un cancer du sein riche en enseignements

(Article tiré du numéro 11 de Néosanté)

“Depuis deux mois, j’ai entrepris de vous partager pourquoi et comment j’avais décidé de vérifier la validité des travaux du docteur Ryke Geerd Hamer depuis que j’avais eu connaissance de ses travaux en 1988. Scientifique de formation, spécialisé dans le domaine de l’épistémologie des sciences, je ne suis pas du style à croire naïvement tout ce qu’on me dit, tout simplement parce que la thèse présentée paraît séduisante ou alternative. Dans le monde des thérapies parallèles, j’ai entendu tellement d’âneries déguisées en explications pseudo-scientifiques que j’ai appris à ne pas m’emballer lorsque je découvre une nouvelle approche de la santé. C’est donc en confrontant les théories de Hamer à des faits, à des observations, à des témoignages de première main que je me suis fait, petit à petit, une opinion précise de son travail. Sachant que toute conclusion est forcément provisoire, jusqu’à preuve du contraire…

Quand éduquer son enfant devient un calvaire

Début novembre 1998. À l’époque, je vis dans un petit village de l’Est du Brabant Wallon, en Belgique. Grâce à l’école du village, j’ai fait la connaissance de parents d’enfants qui fréquentent les mêmes classes que mes trois filles. Avec certains d’entre eux, des affinités se sont créées et je bavarde volontiers avec l’un ou l’autre à la sortie des cours. Nous nous rendons aussi des services mutuels, lorsque l’un d’entre nous n’est pas disponible pour assumer ses obligations parentales. C’est ainsi qu’une amitié est née avec Sylvie, femme courageuse et dynamique de quarante-trois ans, durement éprouvée par le décès de son mari, deux ans auparavant, suite à un cancer du foie. Sa fille Morgane était dans la classe de ma plus jeune fille lorsque le drame est arrivé.

Un soir, Sylvie vient sonner à ma porte. Elle est effondrée. Sa vie de mère monoparentale est devenue un véritable enfer. De plus, elle ressent depuis quelques mois une grosseur suspecte au sein gauche. “Jean-Jacques, me dit-elle, je suis extrêmement inquiète. J’ai vraiment l’impression d’être une très mauvaise mère pour Morgane. J’ai besoin de ton aide et de tes conseils…” Et elle me raconte qu’elle a perdu le contrôle sur les réactions de sa fille. Étant veuve et seule avec sa fille de six ans, elle se voit dans l’obligation de jouer à la fois le rôle de mère et le rôle de père. Mais chaque fois qu’elle dit NON à sa fille, chaque fois qu’elle lui pose une limite, Morgane fait des crises d’une intensité inouïe, tapant des pieds avec force, hurlant avec violence et se frappant la tête contre les murs. À un point tel qu’à plusieurs reprises, elle en a perdu connaissance. Quand je lui demande comment elle vit cette situation, elle me répond: “Je suis désespérée et inquiète pour ma fille. Déjà qu’elle manque de père depuis la mort de mon mari, mais en plus, je suis vraiment une très mauvaise mère. Je crains donc que mon enfant manque de tout ce dont elle a besoin…” me répond-elle.

À travers ses phrases, je comprends tout de suite l’origine de la grosseur dans son sein gauche. Comme le décrit Hamer, lorsque la femelle mammifère craint que son petit manque de nourriture, elle va multiplier le nombre des glandes mammaires et en modifier les performances, les rendant capables de produire un lait infiniment plus riche que le lait maternel ordinaire. Cette réaction naturelle du corps est caractérisée par la médecine officielle de cancer du sein. Pour Hamer, comme il l’énonce dans sa cinquième loi, il s’agit d’un “programme bien-fondé de la nature pour assurer la survie en situation d’urgence.” C’est bien ce que vit Sylvie: elle est convaincue que son jeune enfant est en train de manquer de tout (à la fois d’un père vivant et d’une bonne mère), il faut donc qu’elle compense en urgence ce manque essentiel et vital en développant, grâce à son cancer glandulaire du sein gauche, une capacité à sur-nourrir sa fille…

Comme Sylvie est davantage préoccupée par les problèmes comportementaux de sa fille, je n’insiste pas sur sa grosseur au sein et je choisis de me centrer sur le véritable problème (comment éduquer son enfant adéquatement) plutôt que sur la conséquence de ce problème (la tumeur cancéreuse). Comme le disait Hippocrate, lorsque tu soignes une maladie, ne cherche pas seulement la cause, mais la cause de la cause. Je donne donc à Sylvie des conseils très précis, de manière très directive. Pendant deux heures, je résume à Sylvie ce que j’enseigne dans les formations de parents que je dispense depuis plusieurs années. Et je termine en lui disant: “Si tu appliques mes conseils à la lettre, tu verras, ta fille retrouvera son équilibre et vous connaîtrez à nouveau l’harmonie.” En lui disant cela, je suis convaincu de la réussite de ma stratégie, car elle se base sur mes propres expériences à la fois personnelles et professionnelles.

Quelques semaines plus tard, Sylvie interpelle ma femme pour lui confirmer que mes conseils ont superbement bien fonctionné. Sa fille ne fait plus aucune crise, l’harmonie s’est réinstallée entre elles et elle se sent à nouveau comme une bonne mère…

Une guérison spontanée aux allures inquiétantes

Mars 1999. C’est la première fois que je revois Sylvie depuis notre rencontre de l’automne précédent. Nous nous croisons “par hasard” dans l’agence bancaire du village. Sylvie manifeste une grande agitation. Elle vient de retirer de l’argent de son compte pour filer à l’hôpital en urgence: elle m’annonce en panique qu’elle doit se faire enlever le sein gauche au complet pour cause de cancer! Je me souviens alors de sa grosseur au sein gauche que j’avais choisi de ne pas évoquer avec elle. Me rappelant ce qu’elle avait dit à ma femme également, je pensais sincèrement que tout était rentré dans l’ordre. L’accalmie avec sa fille aurait-elle été de courte durée? Sa grosseur au sein avait-elle une autre origine? Tout à coup, je suis pris d’un doute. Je lui demande alors de me préciser le diagnostic médical qui lui a été présenté. Elle me répond qu’elle a consulté quelques semaines auparavant et qu’on lui a découvert des microcalcifications, raison pour laquelle elle doit subir en urgence une ablation complète du sein…

Je sursaute en entendant cela. Puis je lui dis: “Mais c’est une excellente nouvelle que tu aies des microcalcifications! Allons plutôt nous chercher une bouteille de champagne qu’on fête ensemble ta guérison.” Elle me regarde abasourdie. De mon côté, je ne lui laisse pas le temps de réfléchir et je l’emmène illico dans mon bureau. Je sors un des livres de Hamer et je lui montre le passage qui décrit les microcalcifications comme le résultat de la désagrégation d’une tumeur glandulaire au sein. Je lui explique que pendant l’automne, elle a probablement démarré une tumeur cancéreuse qui s’est guérie d’elle-même depuis qu’elle ne s’inquiète plus pour sa fille. Et j’ajoute: “Ces microcalcifications en sont la preuve formelle. Ce que tu as dans ton sein, c’est tout simplement comme du lait caillé.”

Finalement, Sylvie s’est quand même rendue à l’hôpital, mais a postposé l’opération jusqu’à plus ample information. Elle a exigé de son oncologue qu’il lui fasse une biopsie pour mettre en culture les cellules prélevées. Trois semaines plus tard, l’hôpital la rappelait pour annuler l’opération: aucune activité maligne n’avait été détectée au niveau des microcalcifications.

Aujourd’hui encore, je repense à ce concours de circonstances qui a permis à Sylvie de garder sa belle poitrine intacte. Si elle avait subi un dépistage en novembre, son cancer en phase active aurait été découvert – elle serait rentrée dans la machine infernale de l’opération, de la chimiothérapie et de la radiothérapie. Alors que la simple résolution de son problème parental suffisait à la guérir. Si elle ne m’avait pas croisé « par hasard » une heure avant d’entrer à l’hôpital, on lui aurait enlevé un sein parfaitement sain à cause de l’ignorance de son oncologue. Conclusion de cet épisode: le dépistage systématique n’est pas nécessairement synonyme de prévention. Parfois, c’est même le contraire qui se passe. Dans le cas de Sylvie avec qui je suis encore en relation aujourd’hui, cette aventure s’est bien terminée. Ce n’est pas le cas pour toutes les femmes. Nous verrons cela le mois prochain.”

Jean-Jacques Crèvecoeur

Montréal

Comment devrait être un “bon sommeil”?

Pendant le sommeil notre corps travaille beaucoup, même si l’on a l’impression que tout est au repos et rien ne se passe. On peut distinguer au moins 4 processus qui ont lieu quand on dort:

  • Assimilation des nutriments
  • Elimination des déchets cellulaires
  • Réparation des tissus
  • Recharge énergétique

Comment devrait être un “bon sommeil” afin que toutes ces étapes se passent correctement? Peut-on le reconnaître?

On entend souvent que, pour bien se recharger et pour se réveiller en pleine forme, on devrait dormir au moins 8 heures par nuit, sans interruptions, sans rêves, ou seulement le matin. Mais, est-ce que cela est valable pour tout le monde?

Vous trouverez une réponse à ces questions dans cet article de Jean-Marc Dupuis, qui met l’accent sur le fait que les variables à considérer sont nombreuses et que chaque personne, sur la base de son expérience de vie, doit trouver la formule qui marche pour elle. C’est une vision intéressante et assez alternative à ce sujet.

Comme c’est le cas pour beaucoup d’aspects qui concernent la santé, il est essentiel de rester toujours à l’écoute de son corps et de trouver ce qui fonctionne au mieux pour soi-même.

Je vous souhaite de douces nuits d’été et une bonne réflexion!

Trois idées folles sur le sommeil

Les travaux de Hamer: première rencontre

Jean-Jacques Crèvecoeur est un scientifique pluridisciplinaire qui, entre autres, tient une rubrique très intéressante sur la revue Néosanté. Il invite ses lecteurs et lectrices à diffuser gratuitement certaines de ses publications.

Après sa première vérification de la Nouvelle Médecine du docteur Ryke Geerd Hamer, dans cet article il raconte sa première rencontre avec le docteur Hamer.

Ma première rencontre avec le docteur Hamer

(Article tiré du numéro 10 de Néosanté)

“Dans le numéro précédent de Néosanté, je vous ai parlé de ma découverte des travaux du docteur Hamer, découverte qui remonte à mai 1988. À la lecture de son travail colossal, ma réaction fut de mettre en doute ses conclusions: soit Hamer est un génie qui a vu ce que personne n’avait vu avant lui, soit Hamer est un dangereux falsificateur doublé d’un mythomane paranoïaque. Autrement dit, sa loi d’airain du cancer était trop belle pour être vraie! C’est à partir de là que j’ai décidé de me mettre en quête d’une seule preuve pour invalider les lois qu’il avait énoncées. Pourquoi une seule preuve? Tout simplement parce que c’est un des fondements de la démarche scientifique: il suffit d’un seul contre-exemple pour qu’une loi perde son universalité, et donc son statut de loi.

Les lois scientifiques s’appliquent-elles à la médecine?

Pour comprendre cela, prenons un exemple fictif. Imaginez que je sois un grand scientifique qui a consacré toute sa vie à l’étude et à l’observation des cygnes dans le monde entier. Après trente ans de travail sur le terrain, grâce à l’observation de milliers de cygnes aux quatre coins du monde, j’en suis arrivé à la conclusion que “Tous les cygnes sont blancs.” Énoncé que j’ai eu l’audace de présenter à la communauté scientifique comme une loi, c’est-à-dire une vérité qui se vérifie dans 100 % des cas. Telle est la contrainte et la condition pour qu’un énoncé soit considéré comme une loi: il faut absolument que cet énoncé ne souffre aucune exception, sans quoi il perdrait instantanément son statut de loi. Vous comprendrez donc aisément que pour démolir ma loi, il suffit qu’un de mes adversaires trouve un seul cygne noir à la surface de la planète pour invalider complètement ma loi scientifique. Même si cette loi était jusque là fondée sur l’observation de milliers de cygnes blancs.

Lorsque Hamer a rédigé la synthèse de ses travaux et de ses observations, en octobre 1981, après deux ans et demi de travail acharné, il a commis, aux yeux de la médecine d’école, un crime impardonnable! Il a osé énoncer quatre lois scientifiques qu’il a présentées comme toujours vraies, alors qu’en médecine, tout est fondé sur des statistiques, du style: “Un fumeur a 65 % de chances de développer un cancer des poumons avant l’âge de 60 ans”, ou encore: “Une femme sur trois sera diagnostiquée avec un cancer du sein avant l’âge de 55 ans”. Ce n’est que quelques années plus tard que le docteur Hamer a énoncé sa cinquième loi, dite loi de quintessence. Remarquez qu’avec pareils énoncés, aucun médecin se prétendant scientifique ne pourra être pris en défaut. Car si vous trouvez un fumeur de plus de 60 ans sans cancer du poumon, vous ne pourrez pas contredire l’énoncé statistique. Simplement, vous conclurez avec le médecin que cet homme fait partie des 35 % de chanceux qui ont échappé à la terrible maladie, malgré ses habitudes extrêmement néfastes. En présentant ses énoncés comme des lois scientifiques, non seulement le docteur Hamer se démarquait des habitudes établies depuis le fondateur de la médecine scientifique, Claude Bernard (1813-1878), mais surtout, il reléguait aux oubliettes les milliers d’hypothèses non fondées élaborées par la médecine pour tenter d’expliquer ces phénomènes statistiques. Pire: il faisait preuve d’une insolence inouïe en osant prétendre que le développement des maladies et des processus de guérison était régi par des lois biologiques qui se vérifiaient dans 100 % des cas.

Face à ce bouleversement épistémologique aux allures de révolution copernicienne, une immense majorité de patrons de la médecine répondent comme le feraient des théologiens confrontés à des affirmations remettant en question les fondements de leur foi: pas question de prendre le risque de vérifier les thèses de Hamer. Par principe, cet homme a tort. Par définition, la médecine d’école est la seule vérité unique. Fin du débat. En contre-point de cette position dogmatique, nous sommes à l’époque quelques centaines, au contraire, à vouloir vérifier si oui ou non, Hamer est un génie ou un faussaire. Sachant que si nous identifions un seul contre-exemple à ses lois, c’en sera fini de tous les espoirs que nous fondons en la Médecine Nouvelle.

Le protocole de vérification de Namur

12 mai 1990. Novotel de Wépion, région de Namur, Belgique. Je suis assis dans l’auditorium, aux côtés d’une quarantaine de médecins et d’ostéopathes. Je me sens privilégié d’être le seul non praticien de santé à avoir été accepté à ce congrès de deux jours en compagnie de Ryke Geerd Hamer. L’objectif de ce week-end: vérifier la validité de la loi d’airain du cancer, la première loi de la Médecine Nouvelle, en soumettant Hamer à un protocole sévère et exigeant. Plusieurs médecins belges présents dans la salle ont convaincu quelques-uns de leurs patients atteints de cancer de se présenter devant le père de la Médecine Nouvelle, sans que ce dernier n’ait aucune information les concernant.

Pendant deux jours, le même rituel se déroule sous nos yeux émerveillés. Hamer accueille chaque patient présenté par un médecin et lui serre chaleureusement la main. Puis, dans un français très rudimentaire, il lui demande d’applaudir “spontanément”. Ayant lu ses ouvrages, je comprends qu’il vérifie la latéralité de ce patient. Si lors de l’applaudissement, c’est la main droite qui frappe la main gauche (qu’elle soit en dessous ou au-dessus), il en conclut que le cerveau de la personne est droitier. Même si la personne écrit de la main gauche, grâce à ce test, Hamer sait que le câblage du cerveau est celui d’un droitier… Information cruciale pour l’étape qui suit.

Ensuite, Hamer se saisit des scanners cérébraux du patient remis par son médecin, les pose sur un rétroprojecteur et sort sa loupe de sa poche. À chaque fois, nous découvrons sur l’écran de l’auditorium l’image des scanners. Et malgré le fait que nous avons tous lu les livres de Hamer pour pouvoir participer au congrès, nous ne savons pas comment interpréter ce que nous voyons. Trop de nuances, trop d’informations où l’essentiel se mélange à l’accessoire. En même temps, je nous sens comme si nous assistions à une performance artistique: pendant que Hamer scrute chaque détail du scanner cérébral avec sa loupe, nous retenons notre souffle pour ne pas distraire l’artiste sur le point de s’exécuter… Les secondes s’égrènent à une lenteur presque insoutenable. Puis, le diagnostic s’énonce, à chaque fois d’une précision hallucinante: “Cancer du pancréas, en phase active depuis sept mois, ainsi qu’un cancer du lobe inférieur droit du poumon, actif depuis deux mois… Par contre, l’ulcère à l’estomac datant d’il y a huit ans est totalement guéri.” À la fin de l’énoncé, nous nous tournons à chaque fois vers le médecin traitant du patient. Pendant deux jours, pas une seule fois, les diagnostics énoncés par Hamer n’ont été déclarés faux ou incomplets. Au contraire, il a fallu parfois interroger le patient pour obtenir la confirmation d’informations que même le médecin traitant ignorait…

Une fois vérifié le lien entre scanner cérébral et examens organiques et cliniques, Hamer entame la dernière partie du protocole de vérification. Avec l’aide d’un traducteur, il interroge chaque patient de la même manière: “Dans les semaines ou les mois qui ont précédé le diagnostic de votre maladie, quel choc brutal et intense avez-vous vécu qui vous a pris complètement à contre-pied et que vous avez vécu dans l’isolement?” À chaque fois, en moins de dix minutes, le patient énonce de manière non ambiguë l’origine conflictuelle de sa maladie, en quelques phrases. À chaque fois, nous nous plongeons tous dans le tableau des correspondances élaboré par Hamer. À chaque fois, nous constatons que la réponse du patient correspond de manière précise aux observations empiriques faites par Hamer. J’en suis d’autant plus émerveillé qu’aucun des patients n’a jamais eu connaissance du travail de Hamer…

Conclusion du protocole de vérification de Namur

À la fin de ce week-end intense en émotions, les médecins présents signent un document officiel déclarant qu “à chaque fois, la loi d’airain du cancer a été confirmée et ceci aux trois niveaux:

  • psychique, qui a été élucidé par les patients présents (anamnèse des conflits);
  • cérébral, éclairé par les images de scanners;
  • organique, qui fut étayé par les radios et les protocoles cliniques.

Tous les patients présentés au Dr. Ryke Geerd Hamer lui étaient inconnus. Ainsi fut démontrée la cohérence du système. Dont acte.”

Personnellement, je suis ressorti profondément marqué par ces deux jours. L’observation de ce “sans faute” de la part de Hamer m’a convaincu qu’il n’était ni un faussaire, ni un falsificateur. Car, à l’époque, aucun radiologue n’était capable d’énoncer un diagnostic précis et daté à partir de la simple interprétation d’un scanner cérébral. Cela voulait-il dire que les affirmations de Hamer avaient le statut de lois scientifiques? En 1990, je pensais en détenir un début de preuve. Et c’est ce qui m’a déterminé à poursuivre mes investigations personnelles pour acquérir une conviction intime et complète du sens des maladies et des processus de guérison… Suite de ce compte rendu le mois prochain!”

Jean-Jacques Crèvecoeur

Montréal

L’ortie et ses milles vertues

L’ortie est considérée comme une mauvaise herbe et en plus elle est piquante! Malheureusement on connait beaucoup moins ses nombreuses propriétés bénéfiques pour la santé, qui en font une plante merveilleuse et très versatile.

Par exemple, en étant très riche en vitamines et sels minéraux, elle est idéale pour être utilisée en cure de revitalisation et de reminéralisation.

Elle a une forte action antianémique, parce que ses feuilles sont riches en fer et en chlorophylle, deux substances qui stimulent la production de globules rouges. En outre que le fer, on y trouve aussi du phosphore, du silicium, du calcium et du magnésium en quantités importantes.

L’ortie a une forte action diurétique et dépuratrice, en favorisant la filtration rénale et l’élimination des résidus cristalloïdales, qui se forment à cause d’un excès d’acides dans le sang. Leur précipitation entraine la formation de sels insolubles, qui se déposent à niveau des tissues et des articulations. Avec le temps, cela peut amener à l’apparition de problèmes tels que la goutte, des artérites et des rhumatismes.

L’ortie est aussi un remède très efficace contre la perte de cheveux, un problème qui peut se manifester à la suite d’un excès d’acidité. A cet effet, on peut l’utiliser tant par voie interne, sous forme de tisanes, décoctions et teintures, que par voie externe, par exemple en lotion pour masser le cuir chevelu.

En cuisine, l’ortie peut rentrer dans la préparation de plusieurs plats, grâce à sa saveur très délicate: soupes, potages, quiches, crèmes à tartiner (par exemple houmous d’orties, magnifique!), pesto d’ortie pour accompagner les salades ou assaisonner les pâtes et plusieurs autres délices…

Elle est aussi bien appréciée par les agriculteurs, qui s’en servent pour la préparation du «purin d’ortie», un fertilisant naturel et très efficace, qui, malheureusement, est assez mal vu par les producteurs des engrais et des fertilisants chimiques…

Ce sont seulement des exemples de l’usage de l’ortie. L’article que vous trouvez ci-dessous résume de façon très complète les vertus et la variété d’utilisation de cette extraordinaire plante.

Bonne lecture!

A lire: L’ortie